Le journal de Sylvian Coudène.
Humeurs, humours, musiques, cinéma, et autres libertés provisoires.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)

jeudi 6 août 2009

Vive le droit à la paresse !

Ça n'a pas traîné : des commentaires acerbes de lecteur (sans "s") mécontent me sont parvenus.
En résumé, je ne livre que fort peu actuellement.
Ce lecteur qui se prétend "assidu" ne sait donc pas que j'ai campé chez moi entre deux rangées de cartons pendant ces deux semaines où mon salon-salle à manger-bureau était en rénovation.
Une lecture attentive des articles précédents t'éclairera, mon cher.

Hier, j'ai enfin repris possession des lieux que j'ai décorés d'une manière différente, car une nouvelle couleur inspire tout autre chose en la matière.
De même, j'ai repensé entièrement les rangements de mes cd, dvd et livres divers : ce nouvel ordonnancement me semble réellement plus fonctionnel.
Epris d'épure, j'ai ménagé des espaces moins chargés afin de mieux mettre en valeur un objet ou une photo qui, auparavant, disparaissaient dans un méli-mélo encombré.
Comme je l'écrivais, je vais beaucoup donner, voire jeter, de cet amas de choses inutiles qu'on accumule au fil des mois : c'est un véritable travail en malaxage de neurones.*
Nous avons pu procéder, le soir venu, à la première projection du SylPalace après ces quelques jours de relâche.

Je reviens à mes livraisons quotidiennes de billets, je m'accorde quelques flottements ces temps-ci, d'autant que les "accès directs" (ceux qui viennent me lire chaque jour) ont considérablement baissé ces jours derniers, comme à chaque période estivale.
Les lecteurs de retour auront suffisamment de quoi se mettre sous les yeux en parcourant les mois de juillet et, déjà, d'août.
Du 17 au 23, je suis en Provence avec "ma bande" pour un séjour mi-culturel mi-festif, et début septembre, je séjourne à la Villa Medici (Médicis, pffffff !) de Rome : ce blog n'est pas sur le point de tarir.
Salutations distinguées.


Pas d'idée pour une photo d'illustration, alors je vous offre cette jolie image de Sheila,
chanteuse française que j'ai beaucoup détestée dans mon jeune temps.
Pardon Sheila.
Ou pas.


*Je sais, je me répète.
C'est pour voir si vous suivez, ô, vous, deux ou trois lecteurs fidèles de ce chaud mois d'août.

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