Le journal de Sylvian Coudène.
Humeurs, humours, musiques, cinéma, et autres libertés provisoires.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)

samedi 29 octobre 2011

Le "3 pour 2", c'est pas si compliqué !

Rondo en Ut de Beethoven (dans quelques mesures), Fantaisie Impromptu de F. Chopin, Première Arabesque de Debussy, j'en passe et des meilleures, ont en commun cette particularité : une main joue "binaire" et l'autre "ternaire".
L'élève qui aborde cette difficulté pour la première fois en est décontenancé, effrayé, pense qu'il "n'y arrivera jamais".
Se lancer dans une explication rationnelle est totalement vain : le sens de la musique viendra qui sera le seul guide.
Ce n'est pas pour rien que l'une des premières qualités pianistiques que l'on doit acquérir se nomme "indépendance des mains".
Pour former un tout.
Bel exemple ici avec cette pièce typiquement "romantique".
Facile !

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